Berlin te voilà vengée !

Ca y est, comme convenu et conformément aux prévisions du sioniste Soros, Barrack Obama sera la prochaine marionnette du pouvoir états unien. Son inexpérience visible fait écho à l'ignorance crasse de son prédécesseur ou de celle d'un Mac Cain. Mais depuis longtemps, la présidence n'exerce plus le pouvoir au sein de la république américaine. Elle n'est que le masque pratique de cercles permanents qui déterminent les orientations profondes du pays et il serait stupide de croire que le néo-conservatisme fût une affaire de parti. Les guerres d'agression à l'échelle mondiale sont la résultante d'une stratégie arrêtée dès 1991 au moins.
Obama cependant, c'est le joker du système occidentaliste et sioniste. A empire mondial, visage mondialisé, métissé. Obama porte en lui même toute la perspective du monde oligarquo-démocratique mondial voulu par les élites globalistes actuelles. Pour avoir une dimension mondiale qui n'ait pas tous les atours d'un colonialisme blanc, ce visage du pouvoir impérial coloré sera une belle opération de diversion.
Nous assistons et allons assisté de manière plus marquée encore à un aveu clef: ce qui gêne au sein des élites européennes ce n'est pas le projet mondialiste de l'administration Bush, hormis quelques broutilles protocolaires, mais l'origine raciale de ce président sortant. L'Europe ne veut plus être blanche, ne veut plus d'une organisation politique qui donnerait à voir une race blanche conquérante. Elle cherche désespérément un moyen de mourir en conformité avec son catéchisme humanitaire. Suicidaire, elle traque chaque signe qui attesterait du visage d'elle même qu'elle ne tolère plus: l'homme blanc fort et fier. Cette mort c'est le métissage assis sur les valeurs des lumières, dans une pulsion générale clairement féminine.
Obama concrètement trouvera en Europe de nombreux appuis. Qu'importe que les USA dirigés officiellement par lui poursuivent la même politique impériale. Qu'importe qu'il soit pour la peine de mort. Qu'importe qu'il soit pour le renflouement de la finance globalisée. Qu'importe que sa prochaine décision présidentielle sera de reconnaître Jérusalem capitale de l'entité sioniste. Qu'importe donc qu'Obama soit un bushiste un peu plus soft. Qu'importe qu'il soit sioniste, ou plutôt "heureusement". Enfin un président à l'image de la politique occidentaliste, l'internationale Coca-Cola-BHL-Benetton.
Obama c'est la conclusion du projet états unien et sioniste. Soros ne s'y est pas trompé. La bourgeoisie humanitaire elle a ce qu'elle veut: un exutoire à sa mauvaise conscience post-coloniale, le réchauffement de son vieux plat marxiste de gouvernement mondial.
Car en ce qui concerne la politique Usraélienne, les élites occidentales de l'extrême gauche à la gauche sociale-libérale (LCR-UMP) en France n'avaient que des griefs d'ordre formels. La création d'une société matérialiste, humanitaire, niveleuse, abrutissante et métisseuse, bref nihilisto-fusionnelle, reste le cap indépassable du projet américano-sioniste et cela va tout à fait à l'oligarchie du Paris PD-bobo. Il y a quelques clowns pour s'imaginer que les USA vont changer radicalement de visage, on les trouve volontiers à Libération-Rothschild, au Monde-Gunzburg.
Nous allons, c'est notre chance, voir surtout les faux nez tomber. Piégés par leur logique, nos révolutionnaires vont se trouver mal à l'aise pour critiquer ce que plus rien ne rend ignoble: une face blanche. Leur logique est, un comble pour des socialisants, purement raciste. Rien sur le fond du système US. L'internationale yankee va trouver à gauche, donc dans 95% des médias, des gens compréhensifs et patients. La LCR n'aura plus guère envie de s'en prendre aux USA, si ce n'est bien sûr pour attaquer le "lobby WASP" qui fait pression sur le "bon métis". Dirigée par des Juifs, elle ne risquait pas de toutes façons d'appuyer là ou ça fait mal. Soyons clair, la logique raciste en négatif va jouer à plein.
Il y aura donc un ménage de fait. Les gens bien formés politiquement seront aussi anti-sionistes et anti-atlantistes qu'avant, ni plus ni moins. Les abrutis deviendront les supports ahuris de la stratégie de la vaseline que représente Obama. Car s'il fallait un sale blanc pour saigner des pays innocents (une manière de de dire définitivement que le blanc est par essence un salaud) il fallait un bon métis pour vendre le pansement allant avec. Et derrière, imperturbable, le sioniste qui a fait une bonne farce.
Obama n'annonce pas une ère nouvelle, il annonce la radicalisation du système dans sa logique et démontre que ce dernier n'a absolument pas renoncer à imposer son pouvoir universel sur le monde.
La seule chose que l'on peut en retirer avec certitude, c'est que les USA vont sombrer rapidement d'un point de vue racial dans de graves dépressions internes dues à des forces ethniques centrifuges, annonçant l'effondrement final de ce champignon gigantesque. Cela est déjà réglé. Dès lors que les blancs qui avaient génocidé les indiens acceptent de partager, cela revient à dire que ce pays deviendra similaire à un pays d'Amérique du Sud.
Avec l'élection d'Obama, les USA décerne le titre de première puissance mondiale à la Chine. La Russie l'a bien compris en signant il y a quelques jours un contrat stratégique d'approvisionnement énergétique. En d'autres termes, les USA viennent de capituler, 63 ans après Postdam, dans l'euphorie.
Quelqu'un doit se satisfaire de cette situation de là ou il est.
Cela nous va.
Enfin, les éternels cocus partisans de l'union des blancs "contre les bougnoules", c'est à dire les Touzé et consorts, vont devoir admettre que leur copain américain ne partage absolument par leurs envolées lyriques. C'était très mal connaître les USA, comme c'est très mal connaître les Juifs en s'imaginant que ces entités pourraient incarner la défense de "l'homme blanc". On va donc voir nos racialistes occidentaux défendre le métissage global derrière la bannière US...
Nous avions, une fois de plus, raison.
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