Samedi 20 octobre 2007
http://geopolis.over-blog.net/article-4255629.html).
Extraits : "Expulsions, confiscations, extorsions : ces termes sortis tout droit des archives des premières années du pouvoir soviétique font désormais partie du quotidien, alors que l'époque actuelle serait, selon le pouvoir géorgien, la plus démocratique que le pays ait jamais connue".
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Photo : www.diplomatie.gouv.fr
Selon des journalistes américains, Nicolas Sarkozy aurait avoué à son homologue et ami géorgien Mikheil Saakachvili ne plus exclure de se retrouver prochainement célibataire. C'est donc à l'agité du Caucase (ça c'est de moi) que notre président réserve les confidences sur sa situation matrimoniale... qui, au demeurant, n'est qu'un secret de Polichinelle et ne date pas d'aujourd'hui mais de 2005.
Samedi 21 octobre 2006
La Géorgie est un pays du Caucase dont on parle peu. Sans doute est-il trop lointain, trop compliqué, et trop éloigné de nos préoccupations pour justifier l'envoi de correspondants sur place. Le peu que l'on en retient est que, comme l'Ukraine, il a connu une révolution pacifique qui a porté au pouvoir un nouveau président réputé démocrate. Et celui-ci bénéficie comme tel d'un a priori favorable.
En novembre 2003, la "révolution des roses" qui conduisit à l'éviction du président géorgien Edouard Chevardnadzé fut en effet saluée par les médias occidentaux comme une victoire de l'esprit démocratique. Chevardnadzé, ancien ministre de Gorbatchev, avait pourtant jusque là une bonne réputation, mais son régime apparut alors excessivement corrompu et les élections parlementaires qui venaient de se dérouler, entachées de fraude. Le 23 novembre, il dut démissionner. Les présidentielles anticipées qui suivirent portèrent au pouvoir en janvier 2004 l'un des principaux candidats de l'opposition en la personne de Mikhaïl Saakachvili, dont les partisans furent aussi les grands vainqueurs des élections législatives de mars 2004 et viennent de remporter les municipales d'octobre 2006.
Vu de l'extérieur, tout semblait donc aller sinon bien, du moins beaucoup mieux au pays des roses. Mais c'était sans compter les épines !
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Bref, tout va bien en Géorgie !
En novembre 2003, la "révolution des roses" qui conduisit à l'éviction du président géorgien Edouard Chevardnadzé fut en effet saluée par les médias occidentaux comme une victoire de l'esprit démocratique. Chevardnadzé, ancien ministre de Gorbatchev, avait pourtant jusque là une bonne réputation, mais son régime apparut alors excessivement corrompu et les élections parlementaires qui venaient de se dérouler, entachées de fraude. Le 23 novembre, il dut démissionner. Les présidentielles anticipées qui suivirent portèrent au pouvoir en janvier 2004 l'un des principaux candidats de l'opposition en la personne de Mikhaïl Saakachvili, dont les partisans furent aussi les grands vainqueurs des élections législatives de mars 2004 et viennent de remporter les municipales d'octobre 2006.
Vu de l'extérieur, tout semblait donc aller sinon bien, du moins beaucoup mieux au pays des roses. Mais c'était sans compter les épines !
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Bref, tout va bien en Géorgie !
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